Le tavernier, l'ivrogne et le test d'alcoolémie

Mes jambes croisées et allongées sur la table, une Néréide visser entre les lèvres j'observe un groupe de femmes askhadi qui danse au son de la musique produite par deux musiciens. Un nuage de fumée s'élève devant moi lorsque j'ouvre les lèvres. J'avais participer à la chasse, elle avait était fructueuse mais pas aussi intéressante que je l'espérais. Plus d'une fois j'avais eu envie de planter un couteau sous la mâchoire des deux Kelowniens. Horyon parce que je le déteste et l'autre pour son arrogance. Comme j'aurais aimer voir la lueur s'éteindre dans leurs yeux.

Lorsque la musique s'arrête le groupe de femme se disperse aussitôt remplacer par un chant que je connais plus que bien pour l'avoir tant chanter lorsque j'étais un soldat Pankara. Ce chant célèbre l'océan de part sa beauté et sa force, il nous décrit comme des enfants de l'eau qui viennent accomplir la volonté du roi des mers.

Du bout des lèvres je souffle un nuage de fumée en lui donnant la forme d'un petit voilier, des années de pratique et d'entrainement sous l’œil attentif d'Orion. Derrière le bateau de fumée blanche j'aperçois ma soeur qui vient dans ma direction.